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ça manque peut-être un peu de musique ici...Je vais y penser.
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La vie c'est comme une image
Tu t' imagines dans une cage
Ou ailleurs
Tu dis " C'est pas mon destin "
Ou bien tu dis " C'est dommage "
Et tu pleures
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Pour des histoires que j' aime bien
J' ai parfois pris du retard
Mais c'est rien
J' irai jusqu' au bout du chemin
Et quand ce s'ra la nuit noire
J'serai bien.
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-William Sheller-
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Se demander constament par exemple, si nos actes concordent toujours avec nos principes.
Mais je parle de ses principes profonds ceux dictés par nos tripes, et non ceux que cette societé judeo-chrétienne nous assène depuis des siècles...Ainsi lorsque j' agis plus ou moins bien, bon même pas bien du tout, je m' éfforce de penser que cet acte est régit par mon instinct animal, primaire...Naturel (?), dénué de reflexion, logique, culpabilité. Mais alors pourquoi m' en vouloir à ce point à chaque fois ? Je n' en sais rien. Je n' ai les réponses...Les aurai-je un jour ? Le mythe nietzschien avait en se sens répondu à une partie du problème, mais il ne m' a pas éclairé quant à l' attitude de l' " Autre " vis-à-vis de mes actes. Le " Jugement " quel atroce mot, j' y reviendrai souvent ici, tant je le méprise, le condamne.

Je ne sais comment commencer cette bulle...Simplement l' envie de ne pas tomber dans le journal intime, que je considererais comme un viol consentant de mon intimité. Cela dit, ne pas se censurer serait une des lignes maîtresses de ces pages...Parler de tout, sans retenue, sans la crainte d' être jugée, et enfin sans avoir besoin de se justifier sans cesse...

Alors que vais-je y écrire...Je n' en sais rien. Mes envies, mes aspirations, mes désirs, mes peurs peut-être aussi...Un exutoire en somme. A moi.